Archive for mars, 2010

Moelleux choco-miel et oranges à l’huile d’olive

lundi, mars 29th, 2010

Nous avons repris un excellent dessert de Laurence Salomon: son moelleux au chocolat. Nous l’avons préparé comme sur la recette présentée ici mais en remplaçant la cuillère de sucre complet et la fève tonka par une cs de miel de la région.
Nous avons cuit les moelleux dans de petits moules de silicone et présenté, Nous les avons présenté couvert d’un peu de chocolat fondu et de quelques grains de sarrasins torréfiés en l’accompagnant de quelques fines tranches d’orange biologiques arrosées d’un mince filet d’huile d’olive douce et biologique.

Papillotes de brochet

lundi, mars 29th, 2010

Samedi au marché, le pêcheur de Portalban avait du brochet, j’en ai acheté un énorme filet qui nous a permis de rassasier 14 personnes dimanche.
Les étales reverdissent et il y avait de l’ail des ours.
Nous avons découpé le filet de brochet et petites escalopes et nous avons préparé une sauce avec de l’ail des ours, de l’huile d’olive, du sel gris, du poivre et de la purée de noisette. Dans chaque papillotes nous avons déposé une escalope de brochet que nous avons tartiné de cette sauce et recouverte d’une seconde escalope. Nous avons salé et poivré l’extérieur de ces portefeuille de poisson, Nous avons ajouté ensuite quelques lanières de fenouil et de shiitaké frais. Un petit filet d’huile d’olive quelques tours de poivre et très peu de sel.
Ensuite nous avons glissé les papillotes 15 min au four avant de déguster.

Avec le poisson nous avons présenté un mélange de quinoa noir, rouge et blanc parfumé de cumin d’orient et d’un peu de harissa. Profitant des jeunes pousses printanière nous avons préparé une magnifique salade mêlant salade à tondre, doucette de plein air, dent-de-lion et pourpier d’hiver.

Börek

lundi, mars 29th, 2010

Puisque l’on retrouve des épinards frais au marché nous avons préparé des böreks. Ou plutôt une sorte de böreks de petits triangles de pâte yufka (Turquie) ou feuilles de brik fourrés d’épinards et de feta.
Une variante puisqu’en fait böreks signifie simplement les pâtisseries salées faites de pâte phyllo ou filo que l’on retrouvent dans tous les pays de l’ancien empire ottoman.
La pâte à brik est elle originaire des pays du maghreb. Contrairement à la pâte phyllo ce n’est pas une pâte crue, elle est étendue au pinceau dans une poêle ce qui rend la pâte à brik un peu plus rigide, voir légèrement friable sur les bords quand elle sèche un peu alors que la pâte phillo reste très souple. La pâte yufka est plus épaisse que la pâte phillo.
Le börek peut avoir toute sorte de forme comme un chausson, des cylindres fins comme des cigares ou plus gros coupés en tronçon, être enroulé en escargot, en triangle, en demi-lune ou encore être préparé sur de grandes plaques à four pour être ensuite coupés en parts carrées et être fourré de fromage, de légumes verts ou de viande.
Ceci dit voilà, ne maîtrisant pas l’art de la pâte à börek je me contente de celle que l’on trouve dans les épiceries turques.
Pour nos petits böreks modestes nous avons prit des oignons que nous avons fait suer dans une grande casserole. Une fois ceux-ci translucides nous y avons ajoutés nos épinards lavés et équeutés. Une fois ceux-ci tombés nous les avons versés dans un plat qui contenait déjà notre feta émiettées. Nous avons mélangés tout ça et ajouté un peu de paprika paillettes. Il ne faut pas ajouter de sel ni dans les épinards, ni dans le mélange la feta étant bien assez salée. Voilà notre farce prête. Il suffit alors de prendre une bande de la feuille de pâte choisi et de la graisser au pinceau soit au beurre fondu soit à l’huile d’olive. De mettre une cs au bas de la bande de pâte, de prendre l’un des coin inférieur que l’on rabattra par dessus la farce sur l’autre côté de la bande de pâte de manière à former un petit triangle au bas de la bande de pâte, puis on rabattra le triangle vers le haut, puis de nouveau vers le côté opposé de la bande de pâte et ainsi de suite jusqu’au bout de la bande. On déposera ensuite nos böreks sur une plaque à four graissée ou garnie de papier sulfurisé et on les huilera au pinceau avant de les glisser 10 à 15 min dans un four à 180 degrés.

Velouté de bettes et de racines

lundi, mars 29th, 2010

En entrée nous avons préparé et modifié un peu une recette proposée par Laurence Salomon.

Ingrédients

  • Oignon
  • Côtes de bettes
  • Racines de persil
  • Navets
  • Rutabaga
  • Fève tonka
  • Lait de soja
  • Tofu bio nature
  • Purée d’amande maison

Dans une casserole nous avons fait suer un oignon auquel nous avons ajouté les côtes des bettes et les racines coupées en gros dés. Nous avons salé, poivré et râpé une fève tonka avant de recouvrir les légumes de lait de soja et de laisser cuire le tout à feu modéré.

Pendant ce temps, dans une poêle nous avons émietté et fait griller le tofu dans un peu d’huile d’olive. Nous y avons ajouté une gousse d’ail pressée, du mélange d’épice « Colombo » et une bonne giclée de shoyu additionné d’un peu d’eau. Lorsque le liquide était pratiquement absorbé nous avons ajouté le vert des bettes ciselé en lanières. Après avoir remué un peu tout ça, nous avons couvert et laissé cuire le tout jusqu’au moment où les feuilles de bettes étaient tendres.

Nous avons reprit nos légumes blancs aux quels nous avons ajouté de la purée d’amande avant de passer le mixer plongeant. Nous avons goûté, rectifié avant de déposer une louche de velouté blanc dans les assiettes creuses avant de déposer au centre un peu de hachi vert.

Nous avons accompagné ce plat de borëks aux épinards frais.

Lors de l’atelier du 31 mars 2011, nous avons réalisé le velouté avec pour seules racines des racines de persil. Nous n’vons pas utilisé de fève tonka, par contre nous avons ajouté une note généreuse de poivre Sarawak.

Et, pour épicé le tofu nous avons gardé le shoyu mais remplacé le Colombo par du berbéré et, du cumin d’orient… ou peut-être un mélange qui porte le nom d’un plat_ le chawarma

Atelier cuisine du 28 mars 2010

lundi, mars 29th, 2010

Chapati

lundi, mars 22nd, 2010

Pour une quinzaine de chapati il faut 400 g de farine, 1 cc de sel et environ 3 dl d’eau, beurre fondu, ghee (beurre clarifié pour une verdion indienne) ou huile pour unr version végétalienne.
Creuser une fontaine dans la farine, y mettre 2 cs de beurre, ghee ou huile si on le désir et le sel et ajouter progressivement l’eau en la mélangeant à la farine jusqu’à obtenir une pâte souple que l’on périra 10 min environ.

Ensuite on divisera la pâte en portion de la taille d’une grosse noix qu’on aplatira en disques fins.

On enduira au pinceau chaque disque du corps gras choisi et, au couteau, on coupera une entaille du centre du disque à la périphérie. On prendra alors l’un des côté de l’entaille et on commencera à rouler la pâte sur elle-même en tournant autour du centre de manière à obtenir un cône.

On dressera celui-ci sur sa base large et, en appuyant sur la pointe du cône, on réduira à nouveau celui-ci en une boule qu’on étendra à nouveau en un disque fin.

On farinera légèrement le disque puis on procédera de même pour les autres chapati que l’on pourra empiler puisqu’ils sont enfarinés.

Peu de temps avant de servir on chauffera une poêle, une plaque de fonte ou une plaque à crêpe et on rôtira chaque chapati environ 2 minutes par côtés. Une fois cuit on les emballera dans un linge ou on les placera sous un oreiller pour les garder au chaud et on les servira ensuite sans attendre.